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L'entreprise n'est pas familière avec la conduite du changement.
Il y a un début de prise de conscience de la nécessité de définir des processus métiers et de conduite du changement dans l'organisation même si la mise en œuvre n'a pas encore commencé.
Une première définition des processus métiers est en cours et il existe une prise de conscience de leur nécessité. On constate également une prise de conscience du besoin de mettre en place la conduite du changement et l'analyse des causes racines des dysfonctionnements organisationnels.
Les processus métiers sont en place, la nécessité d'opérer des changements en profondeur et d'y inclure l'analyse des causes racines et des boucles de rétroaction est bien comprise.
Les processus métiers sont en place et l'organisation a commencé à mettre en œuvre des procédures de gestion du changement.
Les processus métiers sont en place. Les premiers changements à opérer sont identifiés, mais aucun processus n'est en place pour apporter ces modifications.
Mise en œuvre partielle d'une conduite du changement. Certains processus s'appuient sur l'analyse des causes racines.
La conduite du changement est en place et commence à s'exercer, mais n'est pas entièrement approuvée par tous les participants.
La conduite du changement est en place, mais ne constitue pas encore un processus efficace et les changements prennent généralement plus de 48 heures.
La conduite du changement est mature et pleinement opérationnelle, les changements sont opérés en moins de 48 heures.
L'entreprise n'est encore pas consciente et prête à un tel changement.
La nécessité de passer au BIM est établie.
Les responsables adhèrent à ce principe.
Tous les acteurs de terrain de l'entreprise adhèrent à ce principe.
Tous les membres de l'entreprise adhèrent à ce principe.
La volonté de changement et d'évolution est ancrée dans la culture de l'entreprise.
Pas de vision BIM ou d'objectifs définis
La vision BIM de base est établie. La stratégie de mise en œuvre BIM manque encore d'éléments concrétisables. Les opportunités d'affaires découlant du BIM sont identifiées, mais non exploitées.
La vision de la mise en place du BIM est communiquée et comprise par la majorité des employés. La stratégie de mise en place du BIM est assortie de plans d’actions détaillés et d’un régime de surveillance. Le BIM est reconnu comme une suite de changements technologiques, de processus et de stratégies qui doit être gérée sans entraver l’innovation. Les opportunités d’affaires découlant du BIM sont reconnues et utilisées d'un point de vue marketing.
Les avantages et apports liés au BIM constituent un avantage concurrentiel pour l'équipe et l'organisation, sont mis en avant et utilisés pour attirer et fidéliser les clients.
Les intervenants ont internalisé la vision BIM et l’atteignent pleinement. La stratégie de mise en place du BIM et ses effets sur les modèles organisationnels est constamment revisitée et réalignée sur les autres stratégies.
Peu ou pas de formations disponibles pour les employés BIM. Les moyens de formation et d’éducation ne sont pas appropriés pour atteindre les objectifs prévus.
Les exigences de formation sont définies et les formations sont fournies uniquement lorsque nécessaires. Les moyens de formation sont variés, ce qui permet une certaine flexibilité dans la diffusion du contenu.
Les exigences de formation sont gérées de manière à adhérer aux objectifs généraux de compétence et de performance fixés. Les moyens de formation sont ajustés aux profils des employés formés et pour atteindre les objectifs de formation de manière rentable.
La formation est intégrée dans les stratégies organisationnelles et les objectifs de performance. La formation est typiquement basée sur les rôles des employés et les objectifs de compétence respectifs. Les moyens de formation sont incorporés dans les canaux de communication et les connaissances.
La formation est continuellement évaluée et améliorée. La disponibilité et la diffusion des formations sont ajustées afin de permettre l’éducation multimodale continue.
Chaque projet est exécuté indépendamment. Il n’y a pas d’accord entre les intervenants pour collaborer au-delà de leur projet commun en cours.
Les intervenants pensent plus loin qu’un projet unique. Des protocoles de collaboration entre les intervenants du projet sont définis et documentés.
La collaboration entre plusieurs organisations pour plusieurs projets est gérée via des alliances temporaires entre les intervenants.
Les projets collaboratifs sont menés par des organisations interdisciplinaires ou des équipes de projet multidisciplinaires. Existence d'alliance entre plusieurs intervenants clés.
Les projets collaboratifs sont menés par des équipes de projet interdisciplinaires qui s’auto-optimisent et qui incluent la majorité des intervenants.
Aucune "exigence d'information BIM" client connue.
Les "exigences d'information BIM" du client sont abordées, mais non considérées.
L'ensemble des "exigences d'information BIM" client sont reçues et partiellement prises en considération.
L'ensemble des "exigences d'information BIM" client sont reçues et prises en considération au démarrage du projet.
L'ensemble des "exigences d'information BIM" client sont reçues et examinées régulièrement.
Aucune revue de données de conception.
Après sélection de l'ensemble des partenaires, mise en place d'examen des données de conception.
L'examen des données de conception en accord avec la convention BIM se fait jusqu'au processus d'examen du design.
L'examen des données de conception en accord avec la convention BIM se fait jusqu'au processus de livraison.
Ces phases du projet ne sont pas considérées.
Les exigences du client ne sont pas considérées.
Les exigences clients sont considérées, mais le modèle n'est pas utilisé pour la gestion des installations.
Les modèles sont progressivement mis à jour et enrichis d'informations exploitables lors de la réception du projet par le client puis lors de la gestion des opérations et des installations.
Le BIM n'est pour l'instant qu'une intention.
Les compétences BIM sont formalisées et externalisées. Le BIM et les Métiers sont encore très dissociés.
Prise de conscience et souhaits émis de monter en compétence de certains membres des équipes. Les rôles BIM prédéfinis se complètent lors de la mise en œuvre.
Implication ponctuelle des équipes techniques. Les rôles BIM sont intégrés et partagés au sein de l'organisation.
Implication régulière des équipes techniques (formations, nouvelle embauche ou alternance). Les compétences BIM se diffusent et évoluent continuellement pour s'adapter à de nouvelles technologies, de nouveaux processus et livrables.
Double compétence(Métiers et BIM) acquise par l'ensemble des équipes. Un appui extérieur n'est plus qu'optionnel et ponctuel.
Il n’y a pas de directive, documentation, protocole ou standard de modélisation BIM. Il y a une absence de documentation et standards de modélisation. Les plans de contrôle qualité sont informels ou inexistants, que ce soit pour les modèles 3D ou pour la documentation. Il n’y a pas de référence de performance pour les processus, produits ou services.
Les directives élémentaires sont disponibles (par exemple les manuels de formation et les standards de diffusion). Les standards de modélisation et de documentation sont bien définis selon les pratiques acceptées du marché. Les objectifs de qualité et de performance sont fixés.
Les directives détaillées BIM sont disponibles (formation, standards, flux de travail, exceptions…). Les propriétés de modélisation, représentation, quantification, spécification et analytiques des modèles 3D sont gérées par des standards de modélisation détaillés et des plans qualité. La performance est surveillée et contrôlée par rapport aux références.
Les directives BIM sont intégrées dans les stratégies globales et d’affaires. Les standards BIM et les références de performance sont incorporés dans des systèmes de gestion de la qualité et d’amélioration des performances.
Les directives BIM sont continuellement affinées afin de refléter les leçons apprises et les bonnes pratiques de l’industrie. L’amélioration de la qualité et l’adhésion aux règlements et codes sont continuellement alignées et affinées. Les références sont revisitées de manière répétitive afin d’assurer la meilleure qualité dans les processus, produits et services.
L'entreprise n'est pas en mesure d'exploiter la 3D pour cette phase. Réalisation traditionnelle des devis pour chaque chantier (déplacement sur site + mesures).
L'entreprise est en mesure de lire des 3D fournis (PDF viewer…) quelques réponses envisageables à partir de la maquette et du descriptif du projet.
Travail d'estimation à partir de données 3D et possibilités d'enrichissement de la maquette (si logiciel propriétaire identique).
La société est équipée et compétente pour être à l'origine de modèles 3D dès la phase d'élaboration de devis (numérisation par scanner 3D ou d'autres applications).
Diffusion des modèles et travail collaboratif dès la phase d'élaboration de devis (envisageable et occasionnel).
Travaux 3D BIM collaboratifs dès la phase d'élaboration de devis, existence de relations durables entre les acteurs.
Absence de processus définis ; les rôles sont ambigus et les structures/dynamiques d’équipe sont inconsistantes. Les performances sont imprévisibles et la productivité dépend de l'investissement sans faille de certains individus. Le souhait de contourner le nouveau système en place perdure.
Les rôles BIM ne sont pas formellement définis et les équipes sont formées en conséquence. Chaque projet BIM est planifié indépendamment. La compétence BIM est identifiée et ciblée. On observe un léger relâchement des initiateurs du projet BIM suite à la diffusion de la compétence, mais la productivité est toujours imprévisible.
La coopération entre les organisations augmente en même temps que les outils de communication interprojet sont mis à disposition. Le flux d’informations se stabilise ; les rôles BIM sont visibles et les objectifs sont atteints avec plus de régularité.
Les rôles BIM et les objectifs de compétence sont intégrés dans l’organisation. Les équipes traditionnelles sont remplacées par des équipes orientées BIM en même temps que de nouveaux processus deviennent partie intégrante de la culture de l’organisation. La productivité est maintenant constante et prévisible. L'accent est mis sur le concept d'alliance commerciale.
Les objectifs de compétences BIM sont continuellement mis à jour afin de correspondre aux avancées technologiques et de s’aligner sur les objectifs organisationnels. Les pratiques sont auditées en permanence afin de s’assurer que les forces en présence correspondent aux besoins des processus. Les processus d'alliance entre les entreprises sont systématiques. Des relations durables sont en place.
Tout est fonction des arrangements contractuels pré-BIM. Les risques liés au modèle BIM collaboratif ne sont pas reconnus ou sont ignorés (et sont différents pour chaque projet).
Les exigences BIM sont reconnues. La responsabilité de chaque partie prenante en matière de gestion de l'information est connue et approuvée par tous.
Il existe un mécanisme pour gérer la propriété intellectuelle BIM partagée, la confidentialité, la responsabilité et un système de résolution des conflits BIM.
Il existe une relation de confiance et de dépendance mutuelle entre les organisations au-delà des barrières contractuelles.
Les responsabilités, risques et récompenses sont continuellement revus et ajustés aux efforts consentis. Les modèles contractuels sont modifiés pour y intégrer les meilleures pratiques et valoriser au mieux les parties prenantes.
L’utilisation des logiciels n’est ni surveillée ni réglementée. Les modèles 3D servent principalement à générer des représentations/livrables 2D exacts. L’utilisation des données, leur stockage et les échanges ne sont pas définis dans l’organisation ou les équipes de projet. Les échanges souffrent d’un manque cruel d’interopérabilité.
L’utilisation/introduction des logiciels est unifiée dans l’organisation ou les équipes de projet (organisations multiples). Les modèles 3D sont utilisés afin de générer des livrables 2D et également 3D. L’utilisation, le stockage et les échanges des données sont bien définis dans les organisations et les équipes de projet. Les échanges de données interopérables sont définis et privilégiés.
La sélection et l’utilisation des logiciels sont contrôlées et gérées selon des livrables définis. Les modèles sont à la base des vues 3D, représentations 2D, quantification, spécifications et études analytiques. L’utilisation, le stockage et les échanges de données sont surveillés et contrôlés. Les flux de données sont documentés et bien gérés. Les échanges de données interopérables sont mandatés et surveillés de près.
La sélection et le déploiement des logiciels suivent des objectifs stratégiques, et non uniquement des exigences opérationnelles. Les livrables de modélisation sont bien synchronisés à travers les projets et étroitement intégrés avec les processus d’affaires. L’utilisation, le stockage et les échanges de données sont régulés et exécutés conformément à la stratégie globale de l’organisation ou des équipes de projet.
La sélection/utilisation des logiciels est continuellement repensée afin d’améliorer la productivité et de l’aligner avec les objectifs stratégiques. Les livrables de modélisation sont révisés/optimisés de manière cyclique pour bénéficier des nouvelles fonctionnalités. Toutes les questions liées à l’utilisation, stockage et échanges de données sont bien documentées, contrôlées, pensées et améliorées de manière immédiate.
L’équipement BIM est inadéquat ; les spécifications sont trop basses ou inconsistantes dans l’organisation. Le remplacement ou la mise à jour de l’équipement est traité comme une dépense et n'est réalisé que lorsque cela devient inévitable.
Les spécifications de l’équipement – adéquat pour la fourniture de produits et services BIM – sont définies, budgétisées et standardisées dans toute l’organisation. Le remplacement et la mise à jour du matériel informatique sont des dépenses bien définies.
Une stratégie est en place pour documenter, gérer et maintenir de manière transparente les équipements BIM. L’investissement en matériel informatique est bien ciblé afin d’améliorer la mobilité des employés (si besoin) et augmenter la productivité BIM.
Le déploiement de l’équipement est traité comme facilitateur du BIM. Les investissements en équipement sont étroitement intégrés avec un plan financier, des stratégies d’affaires et des objectifs de performance.
L’équipement existant et des solutions innovantes sont continuellement testés, mis à jour, et déployés. L’équipement BIM devient un des avantages compétitifs des équipes de projet et de l’organisation.
Les fichiers n'existent qu'au format papier ou ne sont consultables qu'en local sur poste informatique.
Tous les fichiers de travail sont accessibles par un système de stockage de fichiers en ligne (par exemple, Google Drive, Dropbox), mais ils ne s'intègrent pas au BIM.
Tous les fichiers de travail sont accessibles via un système d'information propre à l'entreprise et intégré au BIM ; aucune norme ou standard n'est respecté.
Tous les documents de travail sont accessibles par le système BIM intégré en respectant les normes et standards industriels de la construction.
Pas de planification à partir de maquette.
Le modèle est utilisé pour l'utilisation de phasage simplifié (via fonctions Masquer / Afficher).
Le modèle est utilisé pour planifier les interventions des équipes projet en interne.
Le modèle est utilisé par l'équipe de conception pour planifier l'ensemble des activités de tous les acteurs (4D).
Lien constant entre le modèle d'information et la Maîtrise d'Ouvrage pour suivre l'avancement du projet.
Les modèles ne sont pas appropriés pour évaluer les coûts.
Le modèle est utilisé pour certaines vérifications d'informations ou de quantités en interne.
Les plannings sont issus des modèles qui seront partiellement utilisés lors de l'émission des réserves.
Le modèle de conception élaboré permet de gérer les coûts en phase construction (5D).
Le modèle est complètement utilisé lors de l'émission des réserves.
L'optimisation des coûts se fait en reliant directement les données de coûts au modèle.
Aucune.
Les modèles sont exportés entre logiciels propriétaires (par exemple Navisworks, Solibri, visionneurs GIS).
Capable d'exporter / réimporter des données au format IFC / COBie et d'en vérifier les contenus.
Capable de créer et de transférer au client des données au format IFC / COBie.
La question du niveau de détail (LOD) n'est pas considérée.
Quelques acteurs définissent vaguement un niveau d'information et de détail. Théoriquement le client devrait définir quelques exigences.
Les acteurs cherchent à adopter un environnement de travail digital commun (équivalent au Digital Plan of Works (dPOW) défini par UK National Building Spécification). Conformément au http://www.bimforum.org/lod/ le LOD évolue de LOD 100 -"conception symbolique" à LOD 500 -"tel que construit".
Les niveaux d'informations et de détails exigés par le client ne sont respectés que par une partie des acteurs du projet.
Toutes les parties (la MOA, les entreprises et les acteurs de la chaîne d'approvisionnement) sont alignées d'un point de vue LOD sur les standards industriels et conformes aux exigences du client.
Aucune sécurisation et sauvegarde de données en place.
Des exigences en termes de sécurité et de sauvegarde des données sont établies pour les données BIM.
Des exigences en termes de sécurité et de sauvegarde des données sont établies à tous les niveaux de l'entreprise.
Des exigences en termes de sécurité et de sauvegarde des données sont établies à l'échelle du secteur d'activité.
Les processus ne sont pas définis et donc non utilisés pour stocker des informations dans le BIM.
Peu de processus métiers sont conçus pour recueillir des informations pour soutenir le BIM dans l'organisation.
Certains processus métiers sont conçus pour recueillir des informations et soutenir le BIM dans l'organisation.
La plupart des processus métiers sont conçus pour recueillir des informations pour soutenir le BIM dans l'organisation.
Tous les processus métiers sont conçus pour recueillir des informations relatives aux réalisations (mais aucune vérification des retours effectifs).
Tous les processus métiers sont conçus pour recueillir des informations relatives aux réalisations, mais peu permettent de mettre à jour l'information dans le BIM.
Tous les processus métiers sont conçus pour recueillir des informations relatives aux réalisations, et quelques-uns permettent de mettre à jour l'information dans le BIM.
Tous les processus métiers sont conçus pour recueillir des informations relatives aux réalisations et permettent de mettre à jour, a posteriori, l'information dans le BIM.
Tous les processus sont conçus pour collecter et mettre à jour certaines données en temps réel.
Tous les processus sont conçus pour recueillir et mettre à jour l'ensemble des données en temps réel.
Les informations doivent être ressaisies lorsqu'elles sont nécessaires - le processus est lent et non automatisé - il est différent à chaque nouvelle requête.
Généralement il est nécessaire de rassembler un certain nombre de données pour pouvoir répondre à une demande d'information, mais la façon d'obtenir ces informations est connue.
La plupart des informations sont contenues dans le BIM, cependant la réponse à de nombreuses requêtes nécessite la collecte de données qui sont ensuite stockées dans le BIM.
Les informations sont enregistrées dans le BIM qui contient directement la réponse à de nombreuses requêtes.
Une partie importante des données relatives aux installations est stockée et accessible via le BIM.
Les données relatives aux installations sont principalement stockées et accessibles via le BIM.
Toutes les requêtes urgentes ont une réponse dans le BIM qui est considéré comme la principale source d'information fiable.
Les informations stockées dans un BIM sont disponibles en temps réel bien qu'aucun processus de mise à jour instantanée ne soit en place pour en assurer l'exactitude.
Les informations sont stockées dans le BIM et suffisamment à jour pour être une source fiable d'information en cas d'urgence.
L'information est continuellement mise à jour et disponible à partir de capteurs. Les réponses apportées sont quasi immédiates et exactes.
Aucune intention ou connaissance relative à la certification BIM.
Entreprise consciente de l'importance de posséder des partenaires certifiés.
Entreprise consciente de l'importance d'avoir des partenaires certifiés en interne.
L'ensemble des membres de l'entreprise est certifié.
Un suivi des mises à jour des certifications est en place. La certification est nécessaire pour travailler avec une tierce entité.
Aucune intention ou connaissance relative à ce code.
Un membre référent de la société a l'intention de le signer.
Un membre référent de la société l'a déjà signé.
Tous les membres de la société ont signé ce code.
Un suivi des mises à jour de ce code existe. Avoir adhéré à ce dernier est une condition nécessaire pour accepter une tierce entité sur un projet.